- 16. Promouvoir un pouvoir exécutif collégial et un dialogue permanent avec nos salariés
- 17. Prévenir les fraudes
- 18. Prévenir les risques de gestion
- 19. Promouvoir la cybersécurité
Pour leur très grande majorité, les questions de gouvernance portent sur une juste articulation entre :
> La liberté d’action entrepreneuriale des dirigeants
> La protection des intérêts des actionnaires
> La pérennité de l’entreprise
De ce fait, depuis le 1er janvier 2019, Kallista Energy a adopté le mode de direction d’une société à Directoire et Comité de surveillance, la signature sociale étant attribuée au Président et au Directeur Général. Le Directoire est composé du Président et des Directeurs des 3 principaux départements de l’entreprise : administration et finance ; opérations et développement.
L’articulation entre les trois pouvoirs (souverain – Assemblée Générale, exécutif – Président/Directeur Général/Directoire et surveillance – Comité de surveillance) définit la manière dont l’entreprise est gouvernée. Cette juste articulation permet de légitimer, de prendre et d’assumer les décisions – notamment stratégiques – dont les conséquences sont durables pour l’entreprise, d’établir la confiance des parties prenantes à l’égard de ceux qui gouvernent l’entreprise et à l’égard de l’entreprise elle-même.
En 2021, un Président indépendant a été nommé à notre Comité de Surveillance : Jeroen de Haas. Jeroen apporte à Kallista Energy sa grande connaissance du secteur européen des énergies renouvelables. Il est le cofondateur de Groendus, une entreprise spécialisée dans les données de comptage, les plateformes énergétiques intelligentes et l’énergie solaire aux Pays-Bas. Jeroen a auparavant été le Directeur général d’Eneco, un important acteur de l’énergie en Europe, où il a contribué au développement des activités en Allemagne et aux Pays-Bas.
Kallista Energy a défini un code de conduite anti-fraude à destination de tous ses collaborateurs. Ce code de conduite définit et illustre les différents comportements à proscrire comme étant susceptible de caractériser des faits de corruption ou de trafic d’influence. Ce Code de conduite intègre aussi une protection de chaque collaborateur dans le cas où il serait témoin d’actes frauduleux ou de corruption impliquant le Président de la société. Dans ce cas, le collaborateur est autorisé à saisir directement le Président du Comité d’audit de la Société.